Le témoignage d'Emmanuel
J’ouvre, aujourd’hui, cette nouvelle catégorie que j’ai nommée « Vaccination ? Quel prix à payer ? ». Celle-ci comportera des témoignages, des faits, des réflexions, des études de chercheurs également.
Dans mon esprit, mais cela n’engage que moi-même, il ne s’agit pas d’être contre la vaccination, et surtout pas d’office. Ce que je ne peux pas accepter, c’est l’obligation sous prétexte de sécurité. Car, dans un certain nombre de cas, il y a mise en danger de la vie d’autrui.
Ce que je ne peux pas accepter, ce n’est pas tant le principe de la vaccination, mais les adjuvants qui y sont ajoutés. Qu’il s’agisse d’aluminium, de mercure et, désormais, d’OGM ! Des études, notamment hors de France, montrent que ces produits sont la cause de ce que les labos et les pouvoirs politiques qualifient lamentablement « d’accident ». Facile à dire lorsqu’on ne souffre pas dans sa chair… lorsque l’on n’est pas un proche d’une victime…
Ce que je ne peux pas non plus, et jamais, accepter, c’est que l’on nous prenne pour des demeurés qui n’ont en aucun cas à remettre en cause le dogme de la « religion » vaccinale. Tout doit et peut être remis en cause à partir du moment où il y a des victimes.
Ce jour, je publie un premier témoignage, avec l’autorisation de Patricia Gouy, elle-même victime de la vaccination.
À chacune et chacun de se déterminer librement par rapport à ce lourd dossier de la vaccination obligatoire.
* * *
1992, musicien, joueur de Tuba, je pars avec l’orchestre faire une tournée en Afrique. Vaccins obligatoires : fièvre jaune et
Hépatite A (ce vaccin a été retiré de la circulation, dosé en aluminium 80 fois au dessus des normes Européennes).
Ma mère m’avait dit : Ne fais pas ce vaccin, tu sais que je suis contre les vaccins ... Je réponds : pas de risque, c’est une formalité...
1994, un médecin de la Sécu me trouve une raideur de la nuque à surveiller.
1995, je joue du sousaphone (13Kg) en marchant.
Les camarades me reprochent de traîner.
1998, première chute alors que je ne paradais pas, mes jambes se dérobent. Puis 'il m'est difficile de garder les bras en l'air et pour conduire, je laisse mes bras dans le creux du volant…les muscles de mes cuisses s'amaigrissent.
Janvier 2000, chute dans un escalier en sortant d'un spectacle.
2000-2001, périmètre de marche 500 mètres, visite chez le neurologue. 2002, biopsie.
Ma mère décède, je rêve d'elle, ce rêve signifie que je suis atteint d'une maladie grave !!! Résultat de la biopsie : myosite inflammatoire à inclusions.
J’obtiens rapidement la carte GIC. Traitement à la cortisone inefficace, stoppé au bout de 5 semaines pour insuffisance respiratoire.
2003, typage HLA, suivi d’un traitement alternatif, vu les échecs des soins classiques. 3 ans de lutte pour avoir mes droits à la sécurité sociale.
Soutien efficace de mon épouse et des associations. Fauteuil électrique spécial, chaise élévatrice, barre de seuil, plan incliné… m'ont été financés. De plus, j'ai une assistante sociale très efficace....
2005, le Professeur T. me propose de participer à un protocole réservé aux SEP et maladies neuro-musculaires. Personnels chaleureux et compétents.
Je veux témoigner que je trouve ma force dans mes relations. Je prends cette situation comme une expérience de vie. Je relativise mes souffrances, apprivoise la patience. Tout est aléatoire, j'arrive à me détacher de ma condition. C’est difficile à admettre pour ceux qui me côtoient.
Emmanuel, Seine et Marne(77) novembre 2007
Deux photos qui en disent long...
Emmanuel avant le vaccin
Emmanuel après le vaccin...